L’enfer métaphorique chez Sartre et Guimarães Ros
DOI:
https://doi.org/10.26893/rm.v2i4.280Palavras-chave:
Regard, France, Sarte, Brésil, Guimarães RosaResumo
Ce travail propose une recherche des traits communs dans l’oeuvre de deux écrivains, un français et un brésilien qui,
malgré avoir vécu à la même époque, ont eu une expérience de vie tout à fait différente, l’un à Paris et l’autre dans le « sertão» de Minas Gerais. Il s’agit de l’abordage intertextuelle de l’altérité, dans la pièce Huis clos, de Sartre, et du livre Dão-lalalão, de Guimarães Rosa, ayant comme support théorique, l’essai d’Ontologie Phénoménologique de Sartre L’être et le néant. On focalisera le regard de l’autre en tant que médiateur de l’être pour sa propre reconnaissance ; la tension entraînée par la présence encombrante et torturante de ce regard, qui risque dedévoiler les secrets le plus intimes de l’être. C’est un enfer métaphorique, où chacun est, à la fois, victime et bourreau, ayant comme instrument de torture, le simple regard.
Downloads
Downloads
Publicado
Como Citar
Edição
Seção
Licença
Este trabalho está licenciado sob uma licença Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike 4.0 International License.
Esta revista oferece acesso livre imediato ao seu conteúdo, seguindo o princípio de que disponibilizar gratuitamente o conhecimento científico ao público proporciona maior democratização mundial do conhecimento.